Foncier d’activité à Nîmes Métropole : état des lieux Quel est le foncier d’activité disponible à Nîmes Métropole ? Quels sont les projets pour les prochaines années ? Arthur Loyd dresse un état des lieux.« Il reste quelques lots disponibles à Bouillargues, pour des activités de services autour d’une clinique », explique Olivier Fabregoul, vice-président de Nîmes Métropole délégué au développement économique. À ces disponibilités s’ajoutent « deux lots à Mitra, puis la zone Magna Porta (à proximité de la gare Nîmes Pont-du-Gard) », précise l’élu, également maire de Caissargues. À plus long terme, la zone du Marché-Gare, à l’entrée ouest de Nîmes. « Mais ça devient de plus en plus compliqué pour produire du foncier d’activité, souligne Olivier Fabregoul. On nous demande de tout compenser, pour protéger les outardes, les orchidées… À côté de l’aéroport, on en trouve beaucoup, dont une toute petite, non transportable, et qui bloque tout. » Conséquence : une priorisation du recyclage du foncier déjà existant. Exemple avec la requalification lourde de la zone d'activités du Marché-Gare, à l'ouest de Nîmes, qui s'amorce. Voulue par Nîmes Métropole, l'opération, concédée à la SPL Agate pour une durée de 11 ans, concerne 23 hectares. D’ici à 2033, 40.000 m2 d'espaces tertiaires vont être construits. Par ailleurs, aux 25.000 m2 déjà dédiés à l'agroalimentaire (Pomona, Gadéa Fruits, cuisine centrale de Nîmes, Midi Steak, Lozère Viande) et à d'autres activités (commerces de gros, restaurants…), 10.000 m2 supplémentaires sont prévus. Marché-Gare : 1.200 emplois à terme« C'est un secteur d'entrée de ville, assez sinistré à ce jour. Nous nous lançons le défi d'y développer une nouvelle offre, pour le rendre attractif », explique Julien Plantier, premier adjoint au maire de Nîmes délégué à l'urbanisme, et président de la SPL Agate. L’ancienne halle aux bestiaux (8.000 m2) et les anciens abattoirs (800 m2), dont les structures béton présentent un intérêt architectural, seront conservés. L'équipe de maîtrise d’œuvre urbaine vient d’être désignée. Le mandataire est Gautier Conquet (architectes et paysagistes, Lyon), associé avec Artelia (maîtrise d’oeuvre VRD, Montpellier), Les Éclaireurs (conception et lumière, Lyon), EODD (bureau d'études environnemental, Villeurbanne). « Sur la partie tertiaire, nous ne sommes pas inquiets : toute l'offre est déjà commercialisée dans les zones Esplanade Sud et Georges Besse », observe Antoine Cotillon, directeur général de la SPL Agate. À terme, l'ambition est de passer de 500 emplois à 1.200 emplois dans cette zone du Marché-Gare. 70 entreprises y sont actuellement présentes.
Stratégie d’attractivité : Nîmes Métropole va créer une marque ombrelle Arthur Loyd Montpellier-Nîmes a rencontré Olivier Fabregoul, nouveau vice-président délégué au développement économique de la communauté d’agglomération de Nîmes Métropole (président : Franck Proust), le 13 novembre dans sa mairie de Caissargues.Simplifier la lisibilité de l’offre foncière et immobilière pour les entreprises, et leur garantir une réactivité de tous les instants. C’est la feuille de route que se fixe Olivier Fabregoul, vice-président délégué au développement économique de Nîmes Métropole. « Quand je suis arrivé en juillet, j’ai découvert une nébuleuse. À tel point que j’ai mis du temps à comprendre le fonctionnement, confie-t-il. Dans mon réseau d’entrepreneurs (Olivier Fabregoul dirige l’agence de communication globale Esprit Média), tout le monde m’alertait sur l’aspect incompréhensible du développement économique à l’agglomération. J’ai découvert l’existence de neuf numéros de téléphone différents pour joindre les services, et de quatre ou cinq sites Internet ! Il faut simplifier, aller à l’essentiel. Il faut de l’efficacité. Toute entreprise doit être accompagnée de A à Z, par une personne identifiée par l’entrepreneur. D’autant plus que nous avons des entreprises en souffrance, percutées par la crise du Covid-19. J’ai demandé à la communication (directrice : Sabine Torrès) de créer une marque ombrelle efficace, dans l’esprit ‘Nîmes Métropole Entreprises’, qui fera office de guichet unique. »Si la décision n’est pas encore actée, il semble que l’agence OpeNîmes va être réintégrée au sein du service développement économique, dirigé par Xavier Lefebvre. « Notre service va aussi vite qu’une agence pour répondre aux demandes des entreprises », indique l’élu. Olivier Fabregoul ne veut pas pour autant tout bouleverser par rapport aux actions déjà mises en place. Ainsi, les deux secteurs prioritaires déjà fléchés, la santé et la sécurité civile, sont confirmés « pour leur fort potentiel ».Tourisme, transition digitale, santé et sécurité civile : les quatre piliersÀ ces deux piliers, le nouveau maire de Caissargues veut ajouter le tourisme. « Désormais, nous pouvons travailler avec la Ville de Nîmes ». Cette nouvelle confiance mutuelle entre les deux collectivités est déterminante pour l’attractivité du territoire. Par exemple, les arènes pourront être mises en avant dans la communication de l’agglomération, ce qui n’était pas le cas avant, du fait de guerres politiques. »Autres urgences pour les entreprises, l’aide à la transition digitale, au cœur de la dernière édition de la Digiweek Nîmes Métropole (18-20 novembre). « Toute une tranche de l’économie doit se questionner, dont les commerçants. Pour eux, je souhaite prévoir une réponse à cette crise », déclare-t-il. Nîmes Métropole veut aussi valoriser les initiatives de solidarité inter-entreprises, nées pendant la crise - mise à disposition de matériel, par exemple. « Il est important que les acteurs économiques aient un sentiment d’appartenance un groupe, et développent une confiance réciproque, au lieu de se sentir en concurrence. Le monde d’après-Covid 19 va voir éclore cette valeur. »Pour les projets d’implantation, et alors que le foncier d’activité fait défaut (thème de notre prochain article), Olivier Fabregoul promet de retenir « les projets les plus créateurs d’emplois à l’hectare. Il n’y aura plus d’implantation de projets logistiques (après Carrefour, Auchan et Asics), qui prennent beaucoup de foncier pour, au final, peu de création d’emplois. » La future marque ombrelle valorisera « les quatre pôles de compétences identifiés, ainsi que le cadre de vie nîmois et les tarifs de foncier d’activité et d’immobilier d’entreprise, plus attractifs que dans l’Hérault », conclut-il.
SFR, ça déménage ! La zone commerciale Les Milliaires à Beaucaire est en train d’achever sa rénovation.Pendant ce temps, l’installation récente d’une boutique SFR sur le site symbolise cette ouverture sur l’avenir voulue par le Bailleur et accompagnée par l’équipe Commerces ARTHUR LOYD Montpellier Nîmes.Déjà présent depuis 3 ans sur Beaucaire il s’agit d’un déménagement réussi, permettant notamment :-l’embauche de deux conseillers supplémentaires-le passage d’une surface magasin de 50 à 140 m2-une offre disponible en magasin étoffée : marques mobile, accessoires téléphonie/Internet, objets connectés (montres, enceintes, home cinema…)SFR fait partie des magasins ouverts malgré le contexte actuel. La responsable de boutique, Aurore, nous fait savoir qu’elle entend bien servir plus que jamais et toujours du mieux possible sa clientèle aux heures d’ouvertures habituels !
Recyclage de friches urbaines, écoconstruction : les défis de l'immobilier gardois passés au crible L’aménagement urbain a été au cœur du Lab Immo de Midi Libre, le 9 octobre dernier à Nîmes, en présence de trois experts, Antoine Cotillon (SAT et SPL Agate), Sophie Lafenêtre (EPF Occitanie) et François Bottero (HBM More Architectes).« Le métier d'aménageur public a évolué ces vingt dernières années », a rappelé Antoine Cotillon, directeur général de la SAT et de la SPL Agate (Ville de Nîmes et Nîmes Métropole), lors du « Lab Immo » organisé par le Midi Libre le 9 octobre dernier. « La SPL Agate pilote désormais des projets de requalification sur du tissu urbain préexistant », a-t-il précisé. C'est le cas des projets NPNRU de Pissevin-Valdegour, Chemin-Bas d'Avignon et Mas de Mingue à Nîmes, où sont prévus 500 millions d'euros en renouvellement urbain. Des appels à promoteurs sont lancés pour introduire de la mixité dans ces secteurs. Autres exemples : le lancement de la phase 2 du projet Hoche Université, ou la restructuration à venir du Marché-Gare, à l'ouest, pour y introduire un tiers-lieux et des bâtiments tertiaires.L'exemple de Pont-Saint-EspritQuant à l'Établissement Public Foncier d'Occitanie, dirigé par Sophie Lafenêtre, il a une palette très large d'activités. En attestent les trois conventions signées avec la commune de Pont-Saint-Esprit. L'une porte sur la revitalisation et la résorption de l'habitat insalubre en centre ancien. La 2e sur l'ingénierie travaux de l'ancien hôpital de l'Hôtel-Dieu, pour enlever l'amiante. La 3e sur le déplacement du collège en proche périphérie pour libérer son foncier actuel, bien placé, où sera créée une opération mixte. « On est en recyclage urbain à 100 %, sur toutes nos opérations », a observé Sophie Lafenêtre.Autre dossier en cours, la maîtrise foncière de la friche industrielle d’Arcelor Mittal de Laudun-L’Ardoise par l’EPF Occitanie, qui n’a pas été une mince affaire. Située au bord du Rhône et embranchée fer, ce foncier va accueillir une plateforme logistique multimodale. Gifi est sur les rangs. Anticiper les enjeux de maintenance des bâtimentsAutre exemple d’intervention de l’EPF Occitanie, le quartier Pissevin-Valdegour, qui devrait faire l’objet d’une opération de requalification des copropriétés dégradées d’intérêt national. « Ce serait la seule en Province, souligne Sophie Lafenêtre, qui porte le projet. C’est en préfiguration avec la Ville et la Métropole de Nîmes. » Environ 800 copropriétaires seront concernés dans cette vaste (et complexe) requalification urbaine.François Bottero, architecte à HB More Architectes (Nîmes), associée aux côtés de deux associés, Stéphan Hermet et Guilhem Bastide, a insisté sur l’anticipation des enjeux de maintenance, dès la conception des bâtiments. HB More Architectes propose « une architecture adaptée au site et au programme, pour aboutir à des bâtiments avec pas trop de technicité, qui soit fonctionnels et simples d’utilisation, pour les futurs utilisateurs et pour le personnel qui gère la maintenance », détaille-t-elle. L’agence, spécialisée dans l’écoconstruction, voit monter en puissance le rôle des bureaux d’études environnementaux depuis quelques années.
ZOOM by AL - Septembre 2020 Retrouvez "ZOOM by AL" qui vous présente principalement nos dernières offres à Montpellier et à Nîmes, et leurs environs à la vente ou à la location.Vous pourrez y trouver un extrait du Baromètre Arthur Loyd avec un point particulier sur Montpellier, ses points forts et ses points d'amélioration.Pour lire le ZOOM, c'est ici
Saison touristique : les professionnels évitent le pire Cela aurait pu être pire. La saison touristique devrait se solder dans l’Hérault et le Gard par un bilan « presque miraculeux, bien au-delà de ce que l’on pouvait craindre au sortir du confinement, en mai », selon le comité régional du tourisme (CRT) Occitanie, qui présentera un bilan chiffré le 9 septembre. Signe encourageant : les volumes de présence, réalisés par l’opérateur de téléphonie mobile Orange et prenant en compte les occupations non marchandes (résidences secondaires en particulier), font état d’une densité accrue dans certaines zones. « L’arrière-pays, et ses grands espaces naturels, semble avoir rencontré un vif succès : Cévennes gardoises, Salagou, Navacelles, terrasses du Larzac, détaille Jean Pinard, directeur du CRT. Les collectivités ont encouragé les consommations locales et citoyennes, la découverte de territoires. On a fait des efforts qu’on ne produisait peut-être pas auparavant en matière de promotion de certaines offres. En Occitanie, les billets à un euro fonctionnent très bien pour amener les gens de leur résidence vers un lieu de vacances. » La carte Occ’ygène (réduction de tarifs pour les campings, villages vacances, activités sportives et de plein air, parcs de loisirs et d’attractions…), lancée à la dernière minute, a attiré 25.000 personnes. « Cette formule attire un public que nous n’avions pas jusqu’à présent », ajoute Jean Pinard. La métropole de Montpellier en souffrance. Le secteur de l’hôtellerie-restauration dans la métropole de Montpellier, gros pourvoyeur d’emplois, est en revanche en grande souffrance. À la baisse drastique des touristes étrangers, s’ajoute l’arrêt de toute la clientèle d’affaires, avec l’annulation des congrès, forums, conventions… Sans compter l’annulation des festivals. « Le chômage partiel, prolongé jusqu’en décembre, et les aides de la Région vont limiter un nombre très important de licenciements », indique Jean Pinard. Cela dit, le niveau de trésorerie de certains établissements risque de poser problème. Tous les emplois ne pourront pas être sauvés. « La Région, le CRT, Pôle emploi…, vont devoir être ingénieux dans la formation professionnelle pour maintenir les compétences, et éviter l’isolement des acteurs. Il faut les faire se rencontrer, échanger sur l’évolution des produits, des pratiques d’accueil… »Joël Ortiz (La Voile Bleue) : « Une insécurité grandissante »Joël Ortiz, patron de plage privée La Voile Bleue à La Grande-Motte (34), aura sauvé les meubles cette saison. « Il a fallu au début faire accepter à la clientèle le port du masque, ou le fait que le comptoir du bar ne soit pas accessible pour des mesures de distanciation sociale. Mais au final, cela ne se passe pas trop mal. Je ne me voyais pas faire une année blanche. » La capacité d’accueil a été réduite : 90 places au restaurant au lieu de 120, 10 tables au bar au lieu de 40. Alors qu’environ 200 clients occupent simultanément La Voile Bleue d’ordinaire, ils sont 60 cette année. Les effectifs ont été ajustés en conséquence (47, au lieu de 60 salariés). Le parc de matelas fonctionne, lui, à plein régime. « Les gens sont avides de soleil ! Nous n’avons ouvert que le 21 juin (au lieu d’avril). » La préfecture de l’Hérault pourrait prolonger la saison jusqu’au 30 septembre pour les plages privées. Une alerte : la montée de l’insécurité. « Il faut faire face à de plus en plus d’incivilités, voire d’insultes. Le coût des agents de sécurité a explosé, observe Joël Ortiz. Nous mettons des vigiles dès 10h du matin, jusqu’à 2h du matin. Ils sont même 4 en soirée le week-end. Le budget lié à la sécurité explose. En même temps, je ne veux pas perdre ma clientèle.»Gilles Rigole, directeur du camping du Massereau (Sommières) et vice-président de la Fédération de l’hôtellerie de plein air en Languedoc-Roussillon, en charge du Gard : « - 30 % pour l’hôtellerie de plein air »« Dans le Gard, le CA de l’hôtellerie de plein air chute de 30 % cette année. Au Domaine de Massereau, nous sommes à - 40 %. Depuis mi-juillet, l’activité est revenue à la normale. La clientèle est cette année franco-française, avec des courts séjours, beaucoup étant réservés à la dernière minute. C’est une spécificité de la clientèle française.Fin juin, deux tiers des établissements avaient déclenché des PGE (prêts garantis par l’État). C’est un indicateur de mise en difficulté de la trésorerie des entreprises. La saison n’est pas bonne, et nous espérons que l’arrière-saison la sauvera en partie.Il y a une tendance très marquée, cette année, à la mise au vert. Les établissements reculés, situés en bord de rivière, dans les Cévennes par exemple, rencontrent un grand succès. Ce sont des destinations rassurantes d’un point de vue sanitaire. Les gens consomment de la nature : parc accrobranche, descentes en canoë ou paddle… »
L’Occal : 80 M€ pour le tourisme, les commerces et les artisans Une mobilisation collective, « au service de l’économie touristique, du commerce et de l’artisanat » : c’est ainsi que Carole Delga, présidente PS de la Région Occitanie, présente, début juin, le fonds de solidarité L’Occal, aux côtés d’Olivier Sichel, directeur général adjoint de la Caisse des Dépôts et directeur de la Banque des Territoires, et Thierry Ravot, directeur régional Occitanie de la Banque des Territoires.Un ‘pack’ a été créé entre la Région Occitanie, la Banque des Territoires (BDT), 12 des 13 conseils départementaux d’Occitanie (seul celui de Haute-Garonne n’y prend pas part) et 145 intercommunalités, pour abonder le fonds de soutien L’Occal, doté de 80 M€. Montants respectifs de participation : 19,3 M€ pour la Région, 17 M€ pour la BDT, et chaque collectivité fixe un montant par habitant. Exemple : le Département des Hautes-Pyrénées abonde à hauteur de 2 euros par habitant. « J’aimerais faire plus, concède Michel Pelieu, son président. Le tourisme représente 30 à 35 % de nos revenus. Nous avons besoin que la machine économique reparte. Nous ne pouvons pas perdre juillet et août. Cela serait dramatique. » Le fonds sera effectif jusqu’au 31 décembre et est géré dans le cadre de comités départementaux d’engagement.Besoins en trésorerie et soutien à l’investissementLe fonds L’Occal, qui commence à se déployer, vise à répondre aux besoins en trésorerie et à soutenir à l’investissement. « Il faut agir sur les avances remboursables pour les besoins en fonds de roulement, avec un différé de remboursement de 18 mois, puis une période de deux ans pour rembourser les avances, détaille Carole Delga. Ces délais ont été mis en place par les remontées du terrain. Nous essayons de coller au mieux aux besoins du territoire. » Le soutien concerne notamment des investissements sanitaires. Les subventions peuvent représenter jusqu’à 70 % de ces frais. L’idée est de couvrir des besoins immédiats et très concrets : « Un taxi qui souhaite installer un plexiglas de protection dans son véhicule, un magasin d’habillement qui a un besoin de trésorerie et doit installer un parcours de visite plus sécurisé… »Le dispositif L’Occal est rétroactif à partir du 14 mars. Le tourisme devrait représenter les deux tiers du fonds, estime Olivier Sichel (Banque des Territoires).L’Occal s’ajoute aux dispositifs déjà lancés, à l’échelle nationale ou régionale (plan d’urgence de 250 M€, lancé le 3 avril par la Région, par exemple). Au-delà des financements, la crise révèle, selon Louis Villaret (communauté de communes de la Vallée de l’Hérault), « beaucoup d’imagination de la part des acteurs du territoire : circuits courts, innovations contre le Covid… Un esprit de confiance est impulsé. Ce capital humain, demain, il faudra le valoriser. »Liens utilesLe détail du dispositif est disponible ici : https://www.laregion.fr/loccalLes dossiers sont à renseigner en ligne, sur le portail du Hub Entreprendre Occitanie : hubentreprendre.laregion.fr/Le dossier de presse relatif à L’Occal à consulter ici : https://www.laregion.fr/IMG/pdf/dprectificatifloccal1.pdf